Anna Karénine |
Titre origine | Anna Karenina |
Auteurs | Tolstoj, Lev NikolaeviÏc (Auteur) Luneau, Sylvie (Editeur Intel.) Pauwels, Louis (Auteur) Mongault, Henri (Traducteur) |
Edition | Gallimard : [Paris] , 1994 |
Collection | Collection Folio |
Collation | XIII-909 p. |
Illustration | couv. ill. en coul. |
Format | 18 cm |
ISBN | 2-07-039252-X |
Prix | 52 F |
Langue d'édition | français |
Langue d'origine | russe |
Sujets | Russie -- Roman -- 1800-1899 |
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Contient :
Anna n'est pas qu'une femme, qu'un splendide spécimen du sexe féminin, c'est une femme dotée d'un sens moral entier, tout d'un bloc, prédominant : tout ce qui fait partie de sa personne est important, a une intensité dramatique, et cela s'applique aussi bien à son amour.Elle n'est pas, comme Emma Bovary, une rêveuse de province, une femme désenchantée qui court en rasant des murs croulants vers les lits d'amants interchangeables. Anna donne à Vronski toute sa vie.Elle part vivre avec lui d'abord en Italie, puis dans les terres de la Russie centrale, bien que cette liaison notoire la stigmatise, aux yeux du monde immoral dans lequel elle évolue, comme une femme immorale. Anna scandalise la société hypocrite moins par sa liaison amoureuse que par son mépris affiché des conventions sociales.Avec Anna Karénine, Tolstoï atteint le comble de la perfection créative.Vladimir Nabokov.Préface d'André Maurois.Commentaires de Marie Sémon.
Résumé : Chaque fois que Vronski lui adressait la parole, un éclair passait dans les yeux d'Anna, un sourire entrouvrait ses lèvres ; et, si désireuse qu'elle parût de la refouler, son allégresse éclatait en signes manifestes. Et lui ' pensa Kitty. Elle le regarda et fut épouvantée, car le visage de Vronski reflétait comme un miroir l'exaltation qu'elle venait de lire sur celui d'Anna.
Anna n'est pas qu'une femme, qu'un splendide spécimen du sexe féminin, c'est une femme dotée d'un sens moral entier, tout d'un bloc, prédominant : tout ce qui fait partie de sa personne est important, a une intensité dramatique, et cela s'applique aussi bien à son amour.Elle n'est pas, comme Emma Bovary, une rêveuse de province, une femme désenchantée qui court en rasant des murs croulants vers les lits d'amants interchangeables. Anna donne à Vronski toute sa vie.Elle part vivre avec lui d'abord en Italie, puis dans les terres de la Russie centrale, bien que cette liaison notoire la stigmatise, aux yeux du monde immoral dans lequel elle évolue, comme une femme immorale. Anna scandalise la société hypocrite moins par sa liaison amoureuse que par son mépris affiché des conventions sociales.Avec Anna Karénine, Tolstoï atteint le comble de la perfection créative.Vladimir Nabokov.Préface d'André Maurois.Commentaires de Marie Sémon.
Résumé : Chaque fois que Vronski lui adressait la parole, un éclair passait dans les yeux d'Anna, un sourire entrouvrait ses lèvres ; et, si désireuse qu'elle parût de la refouler, son allégresse éclatait en signes manifestes. Et lui ' pensa Kitty. Elle le regarda et fut épouvantée, car le visage de Vronski reflétait comme un miroir l'exaltation qu'elle venait de lire sur celui d'Anna.
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